Actualité

Le Duke Orchestra crée l’événement

Le 29 avril dernier, le Duke Orchestra a fêté ses 20 ans. lors d’un grand concert au Bal Blomet, en point d’orgue du symposium international « ELLINGTON 2023 » organisé à Paris par la Maison du Duke, Laurent Mignard et sa dream team ont reconstitué et présenté la musique de « Boola », l’opéra inachevé de Duke Ellington, avec la complicité de Michael Kilpatrick.

le Monde – 28 avril 2023
Libération – 26 avril 2023
France Musique, la Matinale – 27 avril 2023
TSF Jazz
France Musique – les Légendes du Jazz – 22 avril 2023 / annonce Jérôme Badini à 57’36
France Musique – 18 avril 2023
Jazz Radio – 20 avril 2023

Nouveau programme

Tout au long de sa longue carrière, Duke Ellington a marqué le 20e siècle de son empreinte, construisant son œuvre autour des valeurs d’ouverture, de respect, d’amour, de tolérance, de bienveillance et bien sûr de fraternité. Mêlant l’esprit du blues à l’invention orchestrale la plus raffinée, la musique du Duke emprunte les chemins de l’universalité : Amérique et ses minorités, Afrique, Amérique du Sud, Proche et Moyen-Orient, Extrême-Orient, Asie, Océanie, Europe… 
Multicolored Ellington … une palette sonore exceptionnelle pour célébrer l’amitié entre les peuples.

 

Jazz Noisette – le nouveau spectacle jeune public

Après Jazzy Poppins, le Duke Orchestra propose au jeune public de (re)découvrir le plus célèbre des contes de Noël, ponctué par les musiques de Tchaïkovski, orchestrées par Duke Ellington et Billy Strayhorn. Portée par les 15 musiciens du Duke Orchestra, la comédienne chanteuse Sophie Kaufmann réenchante le conte d’Alexandre Dumas et nous guide au cœur de la magie de Noël.

Duke Ladies au Théâtre du Châtelet

« On se serait cru au Coton Club de Harlem – à la fin des Années Vingt – quand Nicolle Rochelle a dansé durant l’interprétation de The Clothed Woman par Philippe Milanta. Le talent pur. La double claque. Passage sidérant : on entendait des fauteuils le public gronder de plaisir. Autre moment fort, quand les neufs Ladies invitées ont entonnées le refrain final (Love you madly) après quasiment deux heures d’une prestation inoubliable. Les solistes nous ont gâté. Aurélie Tropez (clarinette) et Julie Saury (batterie), impériales dans leurs rôles, ont surplombé l’événement. Soirée conduite magistralement par Laurent Mignard, gardien des clés et des valeurs du Duke. Une pierre de plus qui ouvre le jazz au monde. » – Bruno Pfeiffer, MEDIAPART